Avant d’être requis pour le STO et envoyé en Allemagne, Robert était élève à l’École Nationale de la marine à Toulon. Fils de Antoine René Pourtau, marin et de Marie Verneuil, il est domicilié à Sainte-Terre avec sa mère, son père étant décédé. C’est alors qu’il entre dans la clandestinité.
Robert Pourtau est adjudant au 1er régiment FTPF de Dordogne (groupe Ricco) depuis le 2 février 1944.
Comme Yvan Imbert, que tout le monde appelé Guy, également de Sainte-Terre, il est « envoyé en mission le 25 juin, n’est jamais rentré au camp ». A dû être arrêté vers le 20 juillet aux environs de Mussidan ». Arrestation qui le mènera à Souge.
Sa sœur a livré à tous le témoignage du jour où les familles Pourtau et Imbert sont allées reconnaitre les corps.
Son nom et celui de son copain Yvan Imbert (prénommé à tort Jean) figurent sur le monument aux morts de Sainte-Terre.